“Same rules apply.”
Entre deux lignes de coke et une barre de Kit-Kat, le brigadier Robertson remplit scrupuleusement sa fiche d’heures supplémentaires. Tout en reluquant ses collègues féminines, il songe à la semaine de vacances – stupre et stupéfiants – qu’il va passer à Amsterdam. Le départ impromptu de sa femme et de sa fille, la mort d’un jeune Noir et un ver solitaire coriace ne suffiront pas à contrecarrer ses plans…
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Lire ce genre de littérature à 19 ans, ça change la perception des gens et de la littérature.
Un homme est sauvagement assassiné à coups de marteau. Bruce voudrait passer inspecteur et c’est l’enquête qu’il attendait pour se prouver.
Le personnage principal de Bruce Robertson est tellement détestable que j'ai bien faillit abandonné en cours de route. Raciste, homophobe, misogyne, obsédé sexuel et j’en passe... Disons que j’ai trouvé difficile à lire au départ… Mais une fois qu’on ouvre nos esprits, le roman se lit bien.
Un peu dans la même tranche qu’American Psycho, le personnage est complexe et rongé de l’intérieur, mais on est fasciné par sa déchéance et c’est ce qui nous tient en haleine tout au long du récit.
Je vous conseille une douche après!
Dans la lecture ‘’dark et hard’’, c’est certainement au top de ma liste. Un… plaisir étrange si je peux dire. Ce n’est pas de la littérature pour tous, il faut avoir l’esprit ouvert à un autre genre.
Pour amateurs avertis de préférence.
Un peu dans la même tranche qu’American Psycho, le personnage est complexe et rongé de l’intérieur, mais on est fasciné par sa déchéance et c’est ce qui nous tient en haleine tout au long du récit.
Je vous conseille une douche après!
Dans la lecture ‘’dark et hard’’, c’est certainement au top de ma liste. Un… plaisir étrange si je peux dire. Ce n’est pas de la littérature pour tous, il faut avoir l’esprit ouvert à un autre genre.
Pour amateurs avertis de préférence.
**LE FILM**
Les gags volent à une vitesse inimaginable et le rythme est impeccable. Un concentré de répliques cultes à mourir de rire !
RépondreEffacerl’univers désaxé d’Irvine Welsh est trash, dans des dialogues d’une pornographie sans limite, dans la violence psychologique totalement halluciné. Un excellent livre qui sort de l'ordinaire, le film l'est tout autant.
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